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Opportunity makes a thief ☆ Leo

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Svein
Svein
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Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Jeu 25 Juin - 16:55
Avec tout l'équipage de l'Hildegarde, vous aviez tendance à naviguer de manière totalement aléatoire, alors quand vous cherchiez à vous rendre à en endroit précis  l'organisation prenait une tournure infernale. Vous n'aviez que des cartes plus ou moins approximative de certains coins d'Atlas qui avaient plus la tête de gribouillis de gamins de 10 ans. En même temps, il fallait pas trop en demander à Svea, ça la dépassait de faire un truc que tout le monde arrivait à comprendre. Elle n'est pas une mauvaise navigatrice, loin de là, mais disons que sur le papier elle est la seule à comprendre ce qu'elle faisait...

Du coup, lorsque t'avais entendu dire que la troupe principale des nomades campaient sur les terres d'Earthea et que parmi eux se trouvait un excellent cartographe tu t'es dis que c'était le moment de remédier aux petits problèmes de communication de votre capitaine. T'étais son second, c'était à toi de prendre les devant quand elle n'y pensait pas forcément.

Évidemment, tu  n'allais pas y faire une sympathique visite de courtoisie & encore moins prévu de négocier avec eux pour obtenir les plans désiré. Pourquoi ne pas tenter ? Parce que t'es même pas officiellement un nomade, tu les as rejoins et te prétend l'être, mais n'a jamais croisé un membre de la troupe principale. Tu as préféré les évité jusque là parce que tu as entendu plus d'une fois que les individus extérieur les rejoignaient, ils étaient maqués au fer rouge et avons-le, tu n'étais vraiment pas tenté par la chose. Tu voyais ça d'un mauvais œil, comme si on cherchait à séparer les bons des mauvais, comme si avoir passé un rite était un crime dont le fer pouvait vous laver.

Tu t'étais rendu au Lac Purita, là où s'était installé la grande troupe principale avec leurs maison-escargots. Tu te sens légèrement angoissé, parce après tout ce temps, c'est la première fois que tu les approchais. Tu te glisses comme si de rien n'étais, te faisant le plus discret possible afin de ne pas être remarqué et mieux : de ne pas être vu. A la plus grande surprise le campement était plutôt vide et les escargots sans surveillance. La troupe avait peut-être décidé de dîner tout ensemble en ville ? T'en sais trop rien , mais ça tombait à ton avantage !

Tu fouilles dans plusieurs escargots avant de tomber sur le bon ! Tu te dépêches de mettre les cartes les plus importantes au fond de ton sac avant de faire tomber, d'un geste brusque, les livres de la table juste derrière toi. Tu remets les objets en place et admire la carte incomplète sur le plan de travail. On voyait tout de suite que c'était les mains d'un expert qui étaient passée par là. C'était aussi détaillé que somptueux. Tu t'excuses intérieurement de lui voler probablement plusieurs d'année des sa vie de travail. Mais, eh, tu lui rendras un jour quand Svea sera capable d'en faire autant !
feat. Leo Jensen ▲ dialogue #F1292C ▲ hrp PARDON POUR L'ATTENTE LOVE
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Ven 26 Juin - 11:59

Opportunity makes dead men

Jensen avait fait un effort, il avait laissé Heze seul à seul avec sa fille. Il avait senti leur besoin de se retrouver ou quelque chose dans le genre, en tous cas, le voilà qui retournait chez lui, le regard tourné vers le lac, reposé et bien nourri. Il était bien ici ; évidemment il préférait les terres inconnus, mais les terres du peuple d'Erthea vibraient d'une chaleur particulière qui le détendait.

Le camp était encore vide, aucune surprise ici vu l'heure – si on parle d'heure sur Atlas. Il s'avança entre les escargots, sifflotant presque une chanson qu'il avait entendu en passant près d'une auberge. Il portait une simple chemise et son pantalon simple, son poncho sous le bras. Il était si bien, c'était fou. Il adorait ces instants particuliers où tout allait bien. Si bien. Il aurait dû se méfier, l'idiot.

Il se dirigea vers son escargot, la tête perdue dans des pensées passionnantes. Il y rentra, souriant doucement à l'idée de son lit. Il s'était levé tôt se matin pour faire le tour du lac et des alentours et vérifier que ses cartes étaient toujours à jour (et les rectifier, encore et encore). Il bailla et couvrit nonchalamment la pièce du regard. Il s'arrêta, les yeux figés sur le dos de quelqu'un. Dans son escargot. Penché sur une de ses cartes. Naturellement, il aurait pu croire que c'était quelqu'un qui le cherchait pour lui parler, mais Jen connaissait tout le groupe au moins de vue et celui-ci, il ne le connaissait pas. Un Earthea ? Il ne se serait jamais permis d'entrer...

Jensen fronça les sourcils et sans faire dos à l'inconnu, il ferma la porte d'un coup brusque et sonore pour signaler sa présence. Il tourna la clé et resta là, entre la seule porte de sortie et l'idiot qui avait osé rentrer sans permission.

-Je peux t'aider peut-être ?

Le ton que Jensen utilisa était glacial, ça n'allait pas être une partie de plaisir. Et dire qu'il avait cru pouvoir avoir une petite soirée tranquille. Il croisa les bras, il n'avait pas besoin de ça pour montrer qu'il était plus imposant que l'autre, mais sérieusement s'il ne se retenait pas il allait le jeter dans le lac à quelques pas de son escargot. Mais, alors que son regard fixait sans sympathie l'inconnu, il remarqua la besace. Jensen pâlit d'un coup. Ce n'était pas possible ! Évidemment que si, ça ne pouvait tomber que sur lui ! Il fronça encore plus les sourcils, ne le quittant pas des yeux, même pas pour vérifier qu'il n'avait rien voler de trop grande valeur... Attendez, il n'avait rien de valeur, hormis...

-J'vais te demander de vider ton sac, cracha-t-il à l'adresse de l'Autre, et tu vas le faire.



Gosh je suis rouillée avec les rp xD Lovlov ♥
Svein
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Ven 26 Juin - 13:38
Musique - Tu t'étais laissé totalement absorber par la beauté du travail inaccompli, malheureusement pour toi ça allait te coûter le tien. Tu n'avais pas fait attention et totalement baissé ta garde en voyant le camp vide. Il ne t'était pas venu à l'esprit que quelqu'un puisse revenir entre deux. Et pourtant, et pourtant tu venais de te faire prendre la main de le sac dans presque tout les sens du terme. La porte se calque violemment et tu sursaute légèrement à ton insu levant immédiatement le regard vers la source du bruit. Tu savais que ce n'était pas un courant d'air, ça ne pouvait pas être un courant d'air t'avais prit soit de refermer la porte derrière toi. Il fallait être stupide pour croire que ça pouvait être un courant d'air.
On se l'accorde tu commençais à paniquer légèrement.

Ton regard se pose sur un homme légèrement plus grand que toi et visiblement plus âgé. Très probablement le maître des lieux, à vrai dire. C'était assez facile à deviner à la vu de l'air mécontent qu'il affichait clairement. Il te semble entendre un petit tintement et lorsque tu vois la main du blond sur le verrou tu comprends assez rapidement que t'étais un homme mort. Tu glousses, carrément bien loin être aussi confiant et rassuré qu'à ton arrivé. On va pas se demander pourquoi, non. Après tout tu viens juste d'essayer de voler le travail de toute une vie à un type qui à l'air carrément furax et face à qui ton seul avantage c'est certainement être légèrement plus jeune. Génial. Est ce que l'excuse d'être jeune et con marche dans ce genre de situation ? Même pas en rêve.

Je peux t'aider peut-être ? Oui. Non. Tu sais pas trop ? Tu hésites sincèrement à faire comme si de rien n'était et de jouer la carte du type un peu paumé ou du Earthea un peu trop curieux. Après tout rien de signal que tu n'appartiens plus réellement aux peuple de la Terre -quand bien même c'était quelque chose dont tu préférais éviter de te rappeler. Mais là encore, au vu du ton glacial dont le propriétaire de l'escargot et de probablement tout ce qu'il contenait venait de faire preuve, tu savais que ça n'allait pas être une partie de plaisir.

Son regarde se balade sur toi et la pièce analysant sûrement la raison de ta potentielle présence ici et tu le vois changer de couleur. Merde. Il n'y a plus aucun doute là dessus, il sait. J'vais te demander de vider ton sac. Tu ne peux plus tomber qui que ce soit. Tu te figes, tu sais pas quoi faire. Tes muscles se tendent et ta dans tête tout s'écroule au point que tu n'arrives pas à réfléchir correctement. Et tu vas le faire. Tu recules d'un pas. Jetant un coup d’œil furtif à la pièce : il n'y avait réellement aucune autre issu et ton futur bourreau se tenait entre toi et la seule sortie.


« Je euh... » commences-tu de manière un peu misérable resserrant le poing sur ton sac. Tu soupires, tu sais que ça ne servirait à rien. T'es peu être pas une lumière, mais tu est bien loin d'être totalement stupide ou même fou. Tu poses ton sac sur la table. « Est-ce que j'ai vraiment besoin de le vider ? Puisque visiblement tu as déjà comprit ce qu'il pouvait contenir. Je vais pas mentir, ni me cacher puisque c'est vraiment ça. »

Bon, c'était beau l’honnêteté, mais rien ne dis qu'il va te laisser partir et pour avouer, ça vous aurait été réellement utile. Tu tentes le diable.

« Y a pas moyen de vous les emprunter quelques jours? Demandes-tu comme un véritable enfant -raison pour laquelle tu t'es soudainement mis à vouvoyer quelqu'un pour la première fois de ta vie- S'il vous...plaît ? » Eh, vous savez ce qu'on dit : qui ne tente à rien n'a rien. « Je le promet, c'est juste le temps que le truc qui me sert de capitaine comprenne à quoi ressemble une VRAI carte, non, je vous jure les siennes son un véritable enfer, j'en ai marre qu'on se perde et qu'elle vienne dire que c'est de MA faute alors que je comprenais juste rien à ses … plans ? Ses gribouillis ? Schémas ? Enfin bref, vous voyez l'genre ! »

Il faut vraiment que t'arrête de paniquer, tu te met sérieusement à trop parler.
feat. Leo Jensen ▲ dialogue #F1292C ▲ hrp Ton post était parfait je te rassure !
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Ven 26 Juin - 15:18

O. MAKES DEAD MEN very dead

Jensen ne lâcha pas du regard le jeune, pas une seule seconde ; il le laissa observer la pièce, certainement pour chercher un moyen de fuite – il y avait la trappe qui menait au « toit », mais elle était peu visible et bloquée par un loquet que Jensen se souvenait avoir cadenassé... enfin, il n'était plus si sûr brusquement. Il se retint de tourner son regard vers la trappe pour vérifier, fusillant plus fortement l'énergumène devant lui. Qu'est-ce qu'il avait fait pour obtenir ça ?

L'Autre sembla prendre son temps pour paniquer réfléchir à se qu'il allait faire. Jensen ne tenait pas vraiment à se qu'il lui sorte un mensonge, encore moins à ce qu'il se débatte, non, Jensen voulait qu'il lui rende ses affaires, pour pouvoir ensuite l'engueuler un bon coup, le menacer de l'envoyer en prison ou il ne savait qu'est-ce qui servait de bagne à Earthea puis le jeter dehors et veiller à que jamais il ne revienne. Et vraiment, quand il vit le grand gamin poser le sac sur la table il crut que ça allait se passer comme ça, calmement, comme ça devrait se passer entre deux personne civilisées – il était un peu naïf Jensen.

-Est-ce que j'ai vraiment besoin de le vider ? Puisque visiblement tu as déjà comprit ce qu'il pouvait contenir. Je vais pas mentir, ni me cacher puisque c'est vraiment ça.

Jensen retint presque un soupire de soulagement et se détacha un peu de la porte. Il avait toujours son regard glacial (il le sentait dans la contraction de ses muscles faciaux qui n'avaient vraiment pas l'habitude d'être utilisés pour autre chose que sourire), mais ses épaules s'étaient un peu détendues. Il s'apprêtait à répondre avec cynisme que l'Autre pouvait bien lui laisser son sac si ça lui faisait plaisir, quand l'inconnu laissa tomber la question qui fit s'écarquiller les yeux de Jensen :

-Y a pas moyen de vous les emprunter quelques jours ? … S'il vous...plaît ?

-Pardon ?

Il devait rêver, forcément qu'il rêvait. C'était quoi ce délire ? Comme si un vous allait lui faire dire oui ! Mais avant que Jensen puisse dire quoique ce soit d'autre la chose face à lui commença à parler, parler et. Non mais sérieusement ?!

-Je le promet, c'est juste le temps que le truc qui me sert de capitaine comprenne à quoi ressemble une VRAI carte, non, je vous jure les siennes son un véritable enfer, j'en ai marre qu'on se perde et qu'elle vienne dire que c'est de MA faute alors que je comprenais juste rien à ses … plans ? Ses gribouillis ? Schémas ? Enfin bref, vous voyez l'genre !

-Mais tu es stupide ou quoi ? Comme si j'allais dire oui ! Tu espère quoi ? Que je te laisse partir comme ça ? Un thé avec ça tant qu'à faire ? Et puis de quoi manger par la même occasion ? Non, parce qu'au point où on en est vas-y, sers-toi ! On est plus à ça près !

Et quand il finit, Jensen était près du voleur.
Jensen s'était avancé en parlant, ses mains bougeant en même temps que ses mots avec vivacité. Il avait avançait jusqu'à rejoindre l'Autre, il se tenait maintenant à quelques centimètre de lui (enfin, si le dit voleur ne fuyait pas d'un côté ou de l'autre, dans tous les cas, Jensen aurait tenté de le chopper)(il n'allait quand même pas lui laisser la voie libre jusqu'à la porte même si elle était fermée.)

-Tu crois que je vais laisser mes cartes partir sur ton vaisseau ? Tu crois que je suis aussi con que toi ? Que je vais laisser un voleur emprunter mes carte pour ton capitaine ? Non et, il s'approcha de l'oreille du garçon, non, je ne vois pas le genre. J'espère juste que la prochaine fois tu te perdras ailleurs que près de chez moi.


♥ et omg Svein est génial (pardon de l'insulter pendant tout le poste, c'est Jensen). Merci pour le fou rire ♥
musique approuvée !
Svein
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Ven 26 Juin - 16:45
Musique - T'avais placé beaucoup d'espoir dans ta petit tirade complètement improvisée. Certainement trop, mais c'était légèrement la seule chose sur laquelle tu pouvais compter dans une telle situation. Sauf que, t'es rapidement redescendu sur terre. Loin de là l'air septique qu'il abordait, t'avais l'impression que c'était une chance qu'il t'avais pas encore écorché vif, surtout que ta proposition avait l'air de le faire juste un peu halluciner. Oups? Il prend la parole, s'approchant doucement de toi. L'angoisse.

Mais tu es stupide ou quoi ? Ah. Sympathique première approche. Est ce qu'être désespéré se relevait à être stupide ? Visiblement oui. Enfin, ma foi tu ne vas faire aucun commentaire dessus : tu l'avais un peu cherché et c'était totalement mérité quand bien même c'était pas quelque chose que tu laisserais passer deux fois. Comme si j'allais dire oui ! Franchement, t'avais espéré que ce soit le cas. L'optimisme ça vous pousse à faire des folies. Après tout, sur le coup tu t'étais dit : pourquoi pas.

Tu espère quoi ? Que je te laisse partir comme ça ? Un thé avec ça tant qu'à faire ? Et puis de quoi manger par la même occasion ? Tu t'abstiens de répondre ironiquement que oui, ça aurait pu être pas plus mal. Mais tu sais que tu vas tout simplement aggraver ton cas si tu l'ouvrais avant même qu'il ai terminé. Non, tu t'estimais déjà plutôt heureux qu'il ai simplement décider de vous enfermer et de s'approcher de toi. Ca va, non, il a l'air d'être quelqu'un de pacifique...La blague. T'as presque envie de partir, mais t'es là alors tant qu'à faire autant aller jusqu'au bout.

Non, parce qu'au point où on en est vas-y, sers-toi ! On est plus à ça près !  Ah vraiment tu peux ? Génial. Bon on arrête là les conneries -parce que ça va deux minutes-. Est ce qu'il voulait ta mort ? Parce que maintenant qu'il est tout proche de toi t'as juste arrêter de respirer. Tu retiens ton souffle comme un criminel de Caelestis qu'on aurait jugé de peine de mort. Pourtant, t'avais dit s'il vous plait. C'était déjà pas trop mal venant de toi.

Tu crois que je vais laisser mes cartes partir sur ton vaisseau ? Encore une fois, t'aimerais dire que oui. Tu crois que je suis aussi con que toi ? Que je vais laisser un voleur emprunter mes carte pour ton capitaine ? Le voilà qu'il t'insulte de nouveau. T'avais dis que tu laissais passer une fois parce que tu l'avais mérité, la deuxième c'était légèrement gratuit. C'est pas parce que tu tentais l'impossible que t'étais dépourvu de toute réflexion logique. Au moins, il avait pas trop l'air de se poser de question sur le fait que tu sortes de nul part et parle de capitaine comme si c'était monnaie courante. Ça t'évitait qu'il te pose trop de question sur qui tu pouvais bien être en dehors d'un simple voleur ce qui t’arrangeait pas mal en soi.

Non et,  il s'approche. Non, je ne vois pas le genre. J'espère juste que la prochaine fois tu te perdras ailleurs que près de chez moi.  Par réflexe tu amènes ta main entre le blond et toi et repousse doucement ton interlocuteur tout en faisant un second pas en arrière. Comment dire que si une homme qui vient de t'insulter deux fois en l'espace de deux minutes et que t'as carrément faire sortir de ses gonds restait loin de toi : ça t'arrangeait. C'est pas très bon pour ton cœur surtout vu ce que tu t’appète à lui répliquer.

« Déjà de un, soyons clair : c'est celui qui dis, qui est. Pour la peine, je reste même si vous voulez que je m'en aille.» Et voici ta légendaire répartie de gamin de douze ans. En même temps, il avait passé son temps à t'insulter alors qu'il aurait pu tout simplement prendre ton sac et te mettre à la porte.

« De deux, être un cas désespéré ne fait pas de moi quelqu'un de stupide. J'ai un nom: Svein. Eh, tu faisais l'effort de te présenter. Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas. Alors oui, c'est pas parce que j'ai essayé de vous plumer que....ça fait pour autant de moi quelqu'un de mauvais par la même occasion. » Il ne l'avait pas dit, mais tu préfère préciser quand même, ça pourra toujours sauver tes miches. Puis, s'il comptait te balancer aux autorités d'Earthea pour simple vol tu sais que tu finirais plutôt condamné pour homicide involontaire, alors autant faire attention avec ça.

« De trois, tu comptes comme si c'était à toi de lui donner des leçons, c'était le monde à l'envers. Je vous rends vos cartes seulement si vous m'apprenez rapidement les bases. Ou que vous me donniez deux ou trois conseils. Rien de bien méchant, allez quoi ! Je veux pas me retrouver à essayer de venir voler vos cartes une deuxième fois. Non parce que je me suis pas perdu pour atterrir ici, faut pas croire non plus. »

Ah, tu aurais peut-être pas du préciser ce détail là.
feat. Leo Jensen ▲ dialogue #F1292C ▲ hrp J'ai rendu Svein stupide à l'aide, omg & je te pardonne Leo est génial aussi ♥
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Dim 28 Juin - 1:25

O. makes dead men very very  dead

Jensen le laissa s'écarter un peu, il ne se recula pas d'un pas mais lui permis de faire un pas en arrière. Jen était encore dans l'espace de l'Autre, mais c'était un peu plus raisonnable. De tout manière, il pouvait s'éloigner autant qu'il voudrait, un jour il rencontrerait pas un mur. Jensen laissa un sourire mauvais s'installer sur ses lèvres – il était fier de faire peur.

-Déjà de un, soyons clair : c'est celui qui dis, qui est. Pour la peine, je reste même si vous voulez que je m'en aille.

Fierté ? Quelle fierté ?
Leo écarquilla les yeux et sa bouche s'ouvrit. Surprise. C'était quoi ça ? Quel était c niveau de... de.

-De deux, être un cas désespéré ne fait pas de moi quelqu'un de stupide. J'ai un nom: Svein. Eh, tu faisais l'effort de te présenter. Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas. Alors oui, c'est pas parce que j'ai essayé de vous plumer que....ça fait pour autant de moi quelqu'un de mauvais par la même occasion. De trois. Je vous rends vos cartes seulement si vous m'apprenez rapidement les bases. Ou que vous me donniez deux ou trois conseils. Rien de bien méchant, allez quoi ! Je veux pas me retrouver à essayer de venir voler vos cartes une deuxième fois. Non parce que je me suis pas perdu pour atterrir ici, faut pas croire non plus.

-Mais jamais tu t'arrêtes ? fut la première chose qui passa les lèvres de Jensen.

Il était choqué, incapable de bouger encore un instant devant tant de... sincèrement, qui agissait comme ça sur Atlas ? Qui était suffisamment stu- Jensen se passa une main sur le visage avec un soupire et posa son autre main sur le sac sur la table. Il fit un pas en avant pour retourner dans l'espace vitale de... Svein ? C'était quoi ce nom aussi ? Mais dans quoi il s'était foutu ?

-Bon, gamin, Svein, abruti, qu'importe, qui a dit que je voulais que tu partes ? Je ne crois pas que tu sois en lieu de négocier. Sérieusement, qui détient les cartes là ? Qui a les connaissances pour te sortir de ta mouise ? Certainement pas toi et ta. Toute. Petite. Tête. de. Cas. Désespéré. À chaque mot il s'approcha, tenant le sac, son autre main se posant gentiment sur l'épaule de Svein. Maintenant, assis-toi,  avec sa main sur l'épaule il le poussa légèrement vers le siège près de la table, pose ta main sur la table, palme contre le bois, on va voir les bases.

Il lâcha Svein et sortit son couteau de chasse de sa ceinture.

-Histoire que ça ne te vienne plus à l'idée de me voler.

Jensen sourit.



Svein est très mature ♥ Mais ma rep est un carnage omg. D8 lovlov ;;
Svein
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Dim 28 Juin - 17:29
Musique - Tu ne lui laissais aucun temps de répit, enchaînant es phrases les unes après les autres, emboîtant les mots de telle sorte qu'ils forment une muraille, un véritable château....de cartes. Ta nouvelle tirade ne l'avait pas plus convaincu que la première. Il avait l'air, à vrai dire, totalement dépité & la seule chose qu'il eu trouvé à te répondre était un, Mais jamais tu t'arrêtes ? A vrai dire, non ou seulement quand tu réussis à parvenir à tes fins. Cette dernière année à été pour toi celle où il a fallut que tu apprennes à tout obtenir en n'ayant rien en retour, parce que tu n'avais tout simplement rien à offrir.

Il soupire avant de s'approcher de nouveau, tu veux reculer encore d'un pas mais tu te heurtes à un meuble. Ah. Tu ne pouvais plus mettre autant de distance entre vous que tu le souhaiterais, d'autant plus qu'il semblait décidé à ronger chaque centimètre de ton espace vital. Il reprend.

Bon, gamin, Svein, abruti, qu'importe, qui a dit que je voulais que tu partes ?   Bon, il avait déjà fait l'effort d’enregistrer ton prénom quand bien même il avait ajouté deux adjectifs plutôt désagréables comme si c'était de simples préfixes et suffixes indispensables afin de s'adresser à ta personne. Soit. Il a jamais dit qu'il voulait que tu partes ? Ma foi, pourquoi pas. Tu t'en doutais légèrement vu qu'il vous avait enfermé dans l'escargot. Je ne crois pas que tu sois en lieu de négocier. Tu pouvais toujours essayer ça ne te coûtait rien, si ce n'est que de l'avoir exaspéré un peu plus. Sérieusement, qui détient les cartes là ? Qui a les connaissances pour te sortir de ta mouise ? Il y avait une bonne chose dans cette remarque là : au moins il prenait en considération tes propos et ta situation. Tu sais donc que t'es paroles n'étaient pas rentrée dans l'oreille d'un sourd. Certainement pas toi et ta. Toute. Petite. Tête. de. Cas. Désespéré. Tu grimaces légèrement. Il fallait vraiment que t'arrête de jouer les idiots de première, parce que tu perdais tout crédibilité et ce, sur long terme. Surtout avec ce genre d'imbécile qui se permettait de décider que tu n'étais pas à même de pousser une réflexion tout aussi complexe que compliqué  avant même de te connaître.

Une main sur le sac, l'autre vient doucement se poser sur ton épaule. Tu sens un léger frisson à ce contact, tu n'aimais pas tant que ça qu'on te touche sans que tu n'y invites la personne ou même qu'elle te prévienne. Il te force à prendre place sur le siège en face du bureau, était-ce réellement un bon signe ? Tu n'es pas sûr, t'as vu toute sorte d'enfer & on ne te dupe plus aussi facilement que ça.   Pose ta main sur la table, palme contre le bois, on va voir les bases. Tu voudrais te réjouir, mais qui sait combien de fois on t'avais répété qu'on coupait la main aux voleurs. T'as décidément pas l'esprit tranquille & lorsque tu le vois sortir son couteau de chasse et sourire, tu sais ô combien tu avais eu raison de te méfier.

Histoire que ça ne te vienne plus à l'idée de me voler. Tu soupires et t’exécutes posant ta main droite sur la table, lentement avant de changer soudainement de cadence. De ton autre main tu sors ta lame d'une dextérité exemplaire et la plante au travers de ton autre main. L'embrochant sans aucune hésitation contre la table. Tu te retiens de souffler durant l'acte et te mord la lèvre inférieure pour évité de faire entendre le son de la douleur, parce qu'il fallait avoué que ce n'était pas des plus doux. Tu reportes alors ton regard sur on interlocuteur, tu effaces toute hésitation, ou gêne ou panique. C'est pas le genre de personne que t'auras en jouant de lui, alors tu de décide à devenir enfin sérieux. T’abandonne ce rôle de souris prise au piège.

«  Tu veux me couper la main ? Commence-tu sur un ton ironique.  Elle est toute à toi, pas moyen qu'elle bouge de sa place. » Fais-tu remarqué en voyant le couteau fermement planté sur le plan de travail au travers ta main qui saignait des plus belles. Tu parais calme, mais la douleur est vive. Ton cœur avait manqué un bon lorsque le fer est entré en contact avec ta chair et maintenant il battait à plein contre ta poitrine. T'as voulu sortir peut-être trop rapidement le grand jeu, tu devais paraît fou. Mais, tu sais parfaitement ce que tu fais et a évité de couper un tendon ou autre articulation. Tu remerciais intérieurement ton amie d'enfance pour t'avoir longtemps prit la tête avec ses histoires de médecine ou tu ne sais trop quoi. Enfin, l'heure n'étais pas à  la nostalgie, tu soupires évitant de trop bouger pour avoir plus mal encore.

«  Je ne suis pas sûre que mon sang fasse une très bonne encre, ma foi. Continues-tu en voyant qu'il propage jusqu'aux papiers étalés sur la table.  Vois-tu, je ne suis cette fois réellement plus en mesure ni de fuir, ni de négocier comme tu le dis si bien. Alors, dis-moi en retour, quel effet ça te fait de te sentir puissant ? J'ai besoin de savoir. »

Tu avais fait tourner la roue d'une autre manière que par l'idée de la chance. Puisqu'il voulait décidé de ton sort de sale gamin voleur, alors qu'il en soit ainsi.
Après tout ne lui as-tu pas déjà dis ? Il ne te connaissait pas.
feat. Leo Jensen ▲ dialogue #F1292C ▲ hrpJe te laisse découvrir un autre côté de son caractère d'entêté aiden il rit comme u
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Dim 28 Juin - 20:55

not so dead

Son sourire s'agrandit quand Svein posa sa main à plat sur la table, c'était bien ça marchait. Jensen s'approcha, prêt à faire une petite peur au jeune homme histoire qu'il ne revienne jamais le voler. C'était parfait. Mais évidemment, comme à chaque fois que Jen avait eu une idée depuis qu'il était tombé sur Svein : ça n'allait pas du tout dans le sens qu'il avait prévu. Leo se préparait pourtant à toutes les possibilités : qu'il se batte, qu'il fuit, qu'il se plie à sa demande, qu'il rit, mais. Certainement. Pas. À. ça.

La lame s'enfonça et Jensen cessa de bouger. Il regarda le sérieux de Svein quand il parla :

-Tu veux me couper la main ? Elle est toute à toi, pas moyen qu'elle bouge de sa place.

Mais sur quel spécimen était-il tombé ?!

-Je ne suis pas sûre que mon sang fasse une très bonne encre, ma foi. Vois-tu, je ne suis cette fois réellement plus en mesure ni de fuir, ni de négocier comme tu le dis si bien. Alors, dis-moi en retour, quel effet ça te fait de te sentir puissant ? J'ai besoin de savoir.

Un frisson de dégoût traversa Leo et il se laissa tomber sur l'autre siège pas trop loin, la main toujours sur le sac et son couteau au bout de ses doigts pendant entre ses jambes.

-Tu l'as vraiment planté ? demanda-t-il, ahuri.

C'était stupide de demander, évidemment qu'il l'avait planté ! Le sang s'étalait déjà sur la table et sa carte ; Jensen se redressa et retira les papiers du bureau pour les laisser tomber sur un tas désordonné par terre, un peu plus loin. Il revint ensuite à la main. Il devait avoir fait une grosse marque dans le bois en-dessous. Heze n'allait pas être content que le sang imbibe le bureau. Jensen soupira avant de se lever pour voir d'un peu plus près – sans trop s'approcher, il n'était pas bête, le couteau est sous ses yeux.

-Tu sais que tu peux perdre ta main comme ça ? Quel intérêt que je la coupe maintenant ?

Il fronça les sourcils.

-Ou alors tu es très doué.

Il releva enfin les yeux vers Svein et l'observa un moment.

-C'était pas un coup de chance, conclut-il en se rasseyant.

Il resta silencieux encore un peu, réfléchissant à ce qu'il avait dit. Puissant ? Il observa la scène. Non sincèrement, non.

-J'ai pas vraiment l'impression de me sentir puissant, pour tout te dire. J'aurai planté le couteau, à la limite peut-être, mais vu que c'est toi qui l'a fait j'en ressens rien, hormis de la pitié. Ça doit faire quand même sacrément mal.

De la lame de son couteau il tapota celle dans la main du voleur, puis il se recula pour attraper un tissu propre sur une étagère au dessus d'eux. Il lui lança le tissu.

-Occupe toi de ça, on va parler. Il sourit et fit tourner son couteau entre ses doigts. Tu viens d'un vaisseau, c'est bien ça ? J'en déduis que tu n'appartiens plus à aucune nation... Explique-moi donc comment ça se fait que je ne t'ai jamais vu jusqu'ici.

Jensen avait cette tendance un peu agaçante de retenir les choses qu'on lui disait. Il était attentif, même lorsque c'était un voleur qui lui parlait. Et parfois, c'était juste quand ça l'arrangeait qu'il ressortait ce qu'il avait entendu. Il ne voulait pas tant que ça casser les pieds du voleur, mais il avait l'impression que Svein insistait pour qu'il le fasse ; alors soit, Jensen allait lui faire plaisir. Il s'installa plus confortablement, l'odeur du sang un peu désagréable, mais sincèrement, un peu d'alcool aurait été sympathique pour cette discution.




Jenesaispascequejesuisentraindefairedemonperso. Mais. Dans ma tête ça fait trop scène banal, tout va bien on discute autour de la table de choses anodine. Bref. LE RETOURNEMENT DE SITUATION QUE TU AS FAIT ÉTAIT ÉNORME.
J'ai peur d'avoir fait trop d'action, si tu veux que Svein intervienne à un moment dis-moi je peux couper plus tôt ♥
Svein
Svein
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le Mar 30 Juin - 20:46
Musique - Tu venais de te planter une larme en lieu et place de ta main, par plaisir ? Franchement, non. Tu voulais simplement lui faire un peu peur, le désorienté, mais pas seulement. Tu aurais très bien pu lui placer le couteau sous la gorge pour avoir le même effet, t'étais prêt à parier que tu aurais été assez rapide pour réussir ton coup. Mais, t'avais cette peur là, cette autre peur qui était de blesser qui que ce soit. Tu ne penses pas que ce soit un mauvais type, non, tu l'avais juste un peu cherché, alors tu ne pouvais pas t'en prendre à lui. Tu ne pouvais franchement pas t'en prendre à grand  monde, même si c'est pour te protéger : la première fois et la dernière fois que tu l'as fait, ça a coûté la vie de ta précieuse mère. Alors, tu préférais jouer à ce jeu là qui te coûtera toujours moins cher que l'incertitude.

Tu l'as dégoûté, tu vois presque l'effroi le traverser. Il se laisse tomber sur un siège, il savait qu'il avait perdu tout contrôle , mieux, qu'il ne l'aurait jamais tant qu'il se tenait face à toi. Tu l'as vraiment planté ? Quelle question. Il essayait probablement de réaliser ce qui venait de se dérouler sous ses yeux alors qu'il n'avait rien demandé à personne. A vrai dire, toi non plus, t'aurais voulu qu'il te laisse partir sans te poser trop de question. Mais, évidemment comme depuis le début de votre rencontre, il se refusait de jouer en ta faveur. Il revient, sauvant ses plans et ses ouvrages d'une noyade certaine dans cette marre de sang, avant d'observer de plus près ce qu'il restait de ta main. Tu le suivais du regard dans le plus grand des silences, ça te faisait mal.

Tu sais que tu peux perdre ta main comme ça ? Évidemment que tu savais, mais tu ne jouais pas avec le feu. Tu ne l'aurais jamais fait si tu n'étais pas sûr de toi.  Quel intérêt que je la coupe maintenant ?  Justement, aucun. Ca te sauvait déjà de ses desseins qu'ils soient vrai ou non. Tu ne filtrais plus avec ses idées inconnus, tu prenais les devant ; jamais tu te laisserais te mettre en échec et mat. Ou alors tu es très doué.  Mais, c'était qu'il était loin d'être idiot qui puis est. Ce n'était qu'un pseudo coup de bluff, tu avais poussé le jeu trop loin, t'avais perdu ta main pour les deux prochaines semaines & il ne tombait même pas dans le panneau. Décidément.

Il te regarde dans les yeux, sûr de lui. C'était pas un coup de chance. Il savait. Son regard se détourne de nouveau sur le spectacle que tu lui avais offert.

J'ai pas vraiment l'impression de me sentir puissant, pour tout te dire.  C'était pas comme si tu avais joué de telle sorte à défausser les cartes qu'il avait entre ses mains. Tu avais balayé son principal atout, le prenant à son propre jeu ; quand bien même cette mascarade t'avais coûté un certain prix. J'aurai planté le couteau, à la limite peut-être, mais vu que c'est toi qui l'a fait j'en ressens rien, hormis de la pitié. Tu fronces légèrement les sourcils, tu ne veux pas de sa pitié. Ça doit faire quand même sacrément mal. Tu songes à le remercier de débiter de telles évidences, mais tu t'es retrouvé à couiner lorsque qu'il tapota sa lame contre la main embrochée. Ça l'amurait en plus, ou bien ?!

Il s'éloigne et te lance un tissu, tu arrives à l'attraper sans trop de mal de ta main libre, après tout tu étais gaucher. Mais, bouger rien que légèrement t'arracher une grimace mêlé à un léger gémissement de douleur. Occupe toi de ça, on va parler. Tu poses le torchon et tandis que l'autre te parle, t'arrache la lame de la table. Tu te replis sur toi même dans l'instant d'après, la douleur te donne des vertiges. Tu colles ton visage contre le plan de travail, quand bien même certaines mèches de cheveux se mêlaient au sang., la fraîcheur du bois te soulageait.

Tu viens d'un vaisseau, c'est bien ça ? T'écoutes qu'à moitié, tu ne voyais vraiment pas pourquoi il s'attardait sur ce genre de détail et encore moins où il voulait en venir. J'en déduis que tu n'appartiens plus à aucune nation... Tu t'arrêtes de respirer. L'enflure, il avait fait attention à ce genre de détail. Il avait dit qu'il te prenait en pitié ? T'en avais sérieusement pas l'impression. Il prétendait ne pas avoir l'impression de se sentir puissant ? Alors à quoi il jouait à t’interroger ? Il ne voulait pas faire ce que toute personne sensé fait lorsqu'elle attrape un voleur : le chasser, non ? Y a vraiment un truc qui tournait pas rond.

Explique-moi donc comment ça se fait que je ne t'ai jamais vu jusqu'ici. Tu déglutis avant de commencer à doucement aborder un rire jaune. Tu enroulais ta main blessée autour du torchon, le serrant au mieux dans l'espoir de stopper l'hémorragie, avant de tourner la tête vers ton interlocuteur, quand bien même elle n'avait pas quitté le contact avec la table. T'avais trop mal pour bouger tranquillement et qui puis est, le blond trouvait le moyen de te donner des sueurs froides avec ses questions. Ce type te torturait presque psychologiquement à coup de pourquoi. Maudit-soit il avec ses interrogations !

«  Tu feras quoi si j'ai pas envie de répondre ? Demandes-tu partagé entre le dégoût, la douleur, et l'exaspération.  Généralement, on se présente avant de vouloir jouer aux commissaire priseur, m'enfin. Tu t'étonnes toi même à trouver le courage de plaisanter encore d'une certaine manière, quand bien même c’était plus une habitude qu'autre chose. Tu cherches à te redresser, t'as l'air d'un condamné de Caelestis dans la meilleure des situation. Tu jettes ta tête en arrière, fixant le plafond. Un trappe. Il y avait une putain de trappe au dessus de ta tête. Tu fais mine de n'avoir rien vu, penche légèrement ta tête avant de nouveau plonger ton regard dans celui de ton interlocuteur qui semblait être à son aise.

Je n'appartiens à aucune nation en effet, je refuse d'être l'esclave de prétendus dieux, je trouve ça tordu. Mais tu sais ce que je trouve encore plus tordu ? Tu te forces à sourire légèrement. C'est que je sais que les nomades marquent ceux qui les rejoignent comme s'il était que du vulgaire bétail. Ça te donne des hauts de cœur.  Vous êtes un peuple libre ? Me fais pas rire ; vous vous distinguez les uns des autres. Comme si ceux qui avaient passés les rites de gré comme de force n'étaient pas assez bien pour se tenir simplement à vos cotés. Comme s'il fallait les lavés d'un odieux péché. Tu avais tellement longtemps réfléchis à la question. Pourquoi marqués les uns et non les autres ? C'était anormal quand on se prétendait libre. C'est pour ça que, tu cherches à te relever, serrant de ta main gauche, la droite. T'avances et fait face à ton pseudo-hôte. Je ne ferais jamais parti des votre.

Eux non plus, n'était pas si libre qu'il le prétendaient.
feat. Leo Jensen ▲ dialogue #F1292C ▲ hrpJe m'excuse adieu je fais n'importe quoi omg omg
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Re: Opportunity makes a thief ☆ Leo écrit le

Opportunity makes a thief ☆ Leo

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