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Rozen Hundjäger ■ Take that rage, put it on a page.

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Rozen Hundjäger ■ Take that rage, put it on a page. écrit le Jeu 14 Mai - 2:57

   

Hundjäger Rozen
Surnom ▬ Roz', Titania, la Faucheuse.
Âge ▬ 26 ans
Date de naissance  ▬ 13 Août
Sexe  ▬ Féminin
Orientation  ▬ Pansexuelle, elle est indifférente en soit.

Taille  ▬ 1 m 65
Poids  ▬ 60 kg
Couleurs cheveux et yeux  ▬ Chevelure rouge et yeux marron clair doré.

Particularité(s)  ▬ Rozen est une femme belliqueuse et guerrière aguerrie. Elle rejette avec virulence toute forme de féminité, mais elle ne peut renier son propre sexe : être une femme. Et comme toute femme, elle a un petit faible pour l’esthétique,  elle collectionne de nombreuses tenues de combat qu’elle affectionne tout particulièrement pour le design qu’elle y apporte ainsi que l’arme étant assortie comme accessoire.  

Groupe  ▬ Caelestis
Occupation  ▬ Général
Habitation  ▬ Cassiopeia, ville céleste ; ainsi qu'un petit appartement dans la zone militaire.



CA S'PASSE COMMENT DANS TA TÊTE ?
Le silence est d'or, la parole est d'argent ; un des nombreux préceptes qui ont bercé mon enfance. Je n'ai jamais été bavarde. Que ce soit pour alimenter une conversation, ou bien demander l'heure, mon interlocuteur comprenait bien qu'il ne pourrait m'arracher un mot. Éternellement vide -ce qui est le mot compte tenu ce que j’ai vécue-, je demeure stoïque à tous les aléas de la vie. On m'a trop souvent reproché mon absence de réactions, mon manque de tendresse ou mon mutisme perpétuel. Je détourne le regard, agacé. Mon visage reste lisse, ne se plisse pas. Et je laisse mon esprit vagabonder. Effroyablement silencieuse, je restais cependant très minutieuse dans ce que j'entreprenais. J'observais, je calculais, j'anticipais et j'agissais en fonction de ce qui se présentait à moi. J'ai conservé cette capacité, je ne parle peut-être pas, mais ce que vous dites ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd. Je n'aime pas le bruit, je n’aime pas les conversations inutiles, j'aime les endroits calmes comme les recoins caché dans la forêt et les autres plaisirs simples de la vie. M'allonger à l'ombre dans un parc, sous un arbre pour faire la sieste.

J'aime la solitude, je suis relativement calme, je ne fais pas souvent le premier pas. Mon silence me plait, et qu'il déplaise à certains ne me fâche guère. Je n'aime rien, je n'ai peur de rien –ou du moins c’est ce que je crois puisqu’au fond, je ne me connais pas moi-même–, je ne demande rien. Je me complais dans ma bulle imperméable et infranchissable. Je n'accorde ma confiance à personne sauf envers ma Reine pour qui je suis entière dévouée. Je ne m'accroche à personne sauf à ma loyauté et mon épée. Je suis de ceux qui se plaisent à penser que je resterai à jamais indomptée, que ma volonté propre suffira à me mener là où je le souhaite, et que je n'ai besoin de personne ; je ne cherche l'admiration et l'affection de personne, je poursuis mon chemin vers cette perfection à laquelle j'aspire ; je parais froide, moqueuse, méprisante ; Je ne ris pas, ne souris que pour m'amuser aux dépends des autres ; je suis aussi fière qu'un chat, si ce n'est pour cette part de mystère que je cultive bien involontairement, je ne suis pas de ceux dont on a envie de faire la connaissance, et jamais je ne vous y encouragerai.


« J'ai tué mon humanité pour être le bouclier de ma Reine. J'ai abandonné tout espoir pour protéger ma Reine du désespoir. Alors par pitié, ne parlons pas de religion ! »


Raconte moi ton histoire !
« C'est une histoire très ancienne, issue d'un passé si lointain que plus personne ne s'en souviens. Aux premières éclaboussures de la lune rouge naquirent trois dieux. Des amas rocheux informes se détachèrent lourdement du sol, creusant vaux et reliefs. Ils étaient si grands qu’il leur fallut mille ans pour se redresser, s’aidant de leurs membres disparates et maigres d’articulations, griffant le sol de leurs griffes pour ne pas perdre l’équilibre, l’un d’eux, Okeanos creusa les sillons qui formeront les grands fleuves. Un autre, Earthea, ne parvint pas à se relever, et tomba. Et si son ascension fut longue et périlleuse, sa chute fut lourde et rapide, et ce Dieu qui tomba se brisa sur le sol, s’enfouissant à demi. Sans l’aide de la lune de sang, nul n’a pu se relever une fois au sol, et Earthea forma les montagnes. Mais les deux autres furent plus braves, et se mirent finalement debout. Cependant, ils étaient si grand, et leurs cornes si monstrueuses, que l’un des dieux déchira le ciel, et gaspilla le précieux bien de Caelestis, qui n’apprécia guère l’affront … Les Siècles Abandonnées. »


Je referme brusquement cet exemplaire immonde du Livre Monde, recueil se vantant de détenir la vérité oubliée de notre passé. Mon regard balaye le QG de la Zone Militaire, de droite à gauche, puis je jette à la cheminée l’infâme ouvrage sur lequel, j’ai fait l’erreur de poser le regard. Un sentiment de honte me submerge, et la simple idée qu’on ait pu me surprendre en flagrant délit m’ennuyait plus que tout. Je ne porte aucun intérêt à la religion et à ses chants lyriques. Selon moi, une chose est palpable : la fatalité. Le monde est une pièce mal distribuée. Certaines personnes ne devraient jamais avoir croisé notre chemin et pourtant, le destin en décide bien souvent autrement. D'ailleurs la majeure partie du temps, c'est grâce à ceux-ci que l'on apprend le plus, sur nous-même, sur tout. Que ce soit agréable ou pénible, ces personnes ne sont jamais là sans raison. C'est à nous de décider ce que l'on veut en tirer ou pas. Ennemi, ami, famille et amour riment avec mourir. Je n’en avais pas conscience, et c’est à l’aube de ma vie que je l’ai compris. Le noir, le blanc, l’ombre, la lumière, la chaleur, le glacial, tous ses antagonismes font que le monde peut rester en parfaite harmonie, depuis la cécité de la vie. Parce que la neige tombe du ciel, où encore parce qu’on fait la guerre, nous vivons dans un équilibre cosmique perpétuellement renouvelable. Après tout qu’est-ce qu’est la vie ? Est-ce l’éternel renouvellement, un peu comme les saisons ?

C'est durant l'une de ses nombreuses nuits d'hiver, où la neige tombait à gros flocons que ma mère, était lové dans son fauteuil à balançoire. Tournée face à la fenêtre, chantonnant une douce comptine, elle caressait son ventre volumineux caractéristique d'une jeune femme attendant un heureux événement. Visage serein et resplendissant, elle leva ses yeux perles et elle aperçut un magnifique rayon de Lune qui perça la noirceur de la nuit, éclairant ainsi la tombée de la neige. Frappée par ce contraste, la jeune femme souhaita une fille ténébreuse comme la nuit, blanche comme la neige et belle comme la Lune. C'est ainsi que je naquis en plein été du mois d’Août, moi Rozen Hundjäger, un bambin qui ne demanda pas à naître, mais qui naquit dans un monde qui ne me comprenait pas. On se penche, on admire et puis, on découvre. Quoi au juste ? Que l’image est l’image de la nature et je suis comme elle. Simple fruit de gestation. Une femme, parmi tant. Je suis différente des autres et pourtant nous savons tous que nous ne sommes différents que du masque que nous portons. Le mien est blanc et scintillant. Il est uniforme et m’englobe telle une sphère parfaite. En son centre, un sourire. Large et noir. Il te glace le sang. A mes côtés tu te sens en à la fois en sécurité, mais avec un certain inconfort. Et je souris de plus belle, étalant ma clairvoyance devant tes yeux égarés. C’est si bon. Je ne suis que la progéniture farouche issue de l'union d’une famille aisée vénérant la divinité Caelestis. Et on s’approche du miroir. Le masque devient translucide découvrant l’éclat de la banalité. Mes yeux s’alignent de couleur or. Ils portent chances cependant ma mère, elle aimait perdre ses yeux dans leur profondeur. Mes cheveux étaient d'un reflet rouge feu et c’est pour cela qu’ils n'ont jamais changer de couleur. Elle m’aimait tant pour me préserver de cette banalité dont vous êtes tous victimes. Et j’ai grandis avec le regret d'avoir assisté à la mort de mes parents sur mes épaules, frêle et stupide croyante de la ravissante créature que Dieu était à mes yeux à l’époque. Je l’ai vénéré, ô oui et le deuil m’a consumé jusqu’à la folie. J’étais si petite, fragile et menue. Dieu, ris-tu donc de ton ironie ?

J’ai longtemps erré dans la rue avant de m’engager dans l’armée. Il faisait si froid que je me terrais contre le mur, perdue au beau milieu de ce malheur que je véhiculais sur mon passage. La fraîcheur naissante de la pierre dense me maintenait éveillée, empêchant toute chute en pâmoison. J’étais parfois dépassée par l'ère du temps. Depuis quand son chemin m’échappait-il ainsi ? J’étais seule désormais. J’emmerdais ce putain de destin et je pleurais pour ma fierté, c'est insupportable. ; Il y eut un grand bruit comme un impact à la fois sourd et audible à des kilomètres à la ronde. Un silence funeste s’abattit sur la ville, les lumières de toute la zone s’éteignirent et seuls les bougies et autres feux primaires perdurèrent. On entendit des bruits venus d’ailleurs résonner dans les rues, des cris déchirant le silence de la nuit, des murmures incompréhensibles s’infiltrer à travers les lézardes des maisons. Le temps semblait s’éterniser plus que jamais, jouissant de la peur que suscitait son rythme sur tout. Et la sonnette mit fin à cette douce perdition, elle tinta aux rythmes des cœurs battant en secret dans les maisons. Personne n’esquissa un geste, personne n’osa entrouvrir les lèvres, mais malgré ces douces précautions, cela n’a pas suffi. ; Les barbares savaient qu’ils se tapissaient tous dans le noir en silence. Eux, Être porteurs de la Mort, entrèrent. Cette nuit-là beaucoup moururent dont mes parents, certains furent touchés par ces ombres venues d’ailleurs, tandis que d’autres furent épargné par le Destin. Après ce soir-là, mon esprit sombra dans une litanie d’obscurantisme dans laquelle je pris conscience d’une effroyable vérité : la traque ne faisait que commencer.


Ici me voilà, plusieurs années plus tard. J’ai suivi un entraînement draconien, et j’ai travaillé durement pour rentrer dans la Garde Royale, et j’ai récemment été nommée Général ; Nouveau grade, j’instaure mon autorité à mon régiment que j’ai sous tutelle afin de faire régner l’ordre à Cassiopeia. Je suis impitoyable, on peut m’asservir, et je m’agenouille que devant ma Reine, que je sers corps et âme.
 




Le coin joueur
Mon pseudo est franken, mais je m'appelle Lou, j'ai 22 ans. Je suis en BTS CGO (Comptabilité), et je vis en Région Parisienne. Je hais mes études, je vomis Paris, alors je veux fuir dans le Sud à Montpellier (idéalement), mais ça risque d'être peut-être Aix en Provence cet été, et je recommence mes études à zéro dans le Tourisme car je me sens pas épanouie du tout dans ce que je fais en ce moment.

Je fais du rp depuis que j'ai 12 ans, et les rp manga ça faisait longtemps alors j'ai craqué direct ♥



Zackary Wise
Zackary Wise
Messages : 753
Date d'inscription : 24/04/2015
Re: Rozen Hundjäger ■ Take that rage, put it on a page. écrit le Jeu 14 Mai - 12:02

Nebula te salue !





UNE ERZAAAA ! Je trouve ton personnage génial avec sa façon de penser ! Tu es validé sur le champ ~

Je t'invite à aller faire ta fiche de relation et/ou de faire une jolie demande de RP si tu es déterminé à écrire ton histoire avec les autres joueurs !
N'hésites pas à garder le guide de Nebula sous le coude ! Ah, et il ne faut pas oublier le bottin des avatars !
L'ensemble du staff te souhaite un bon jeu dans le monde de Nebula !

Rozen Hundjäger ■ Take that rage, put it on a page.

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