•• surnom » Aamon, un démon pour vous servir.
•• âge » vingt-six ans
•• sexe » Masculin
•• date de naissance » 31 octobre (coïncidence ?)
•• orientation » Tant qu'il y a un trou !

•• taille » 1m76
•• poids » 58kg
•• cheveux & yeux » Ses cheveux sont brun charbon, et ses yeux ont des reflets croisant le rose et le rouge.
•• particularités » Aamon porte toujours un manteau noir à fourrure, même quand il fait chaud. En même temps, il y cache souvent ses couteaux qu'il aime utiliser dans toutes situations. Il a également une bague argentée à ses deux index. Pour la classe, sûrement.

•• groupe » Earthea, anciennement d'Okeanos
•• occupation » Ancien tueur à gages et informateur pour un groupe de rebelles, maintenant en apprentissage sur la chasse.
•• habitation » Là où sa bonté d'âme le guide.

•• personnage illustrateur » Izaya Orihara → Durarara!!

hors rp ♥

COUCOU, c'est encore Rhéa avec un TC tout aussi bizarre. Oui, j'ai des idées assez farfelues, entre une Générale coincée et pure, une prostituée et un barjo... J'espère en tout cas que vous m'aimerez. Je vais m'amuser 8D (promis c'le dernier perso chelou)
+ MERCI KIRA POUR LE CODAGE JE SUIS JUSTE EN EXTASE.
++ Je vous conseille, pour scroll, de souligner légèrement les lignes pour descendre doucement et lire sans trop rager de vous perdre dans les lignes. J'vous jure, ça vaut le coup uiui. ET CLIQUEZ SUR LES NOTES DE MUSIQUE !! ♥

Profiteur – Egoïste – Manipulateur – Tueur – Sans scrupule – Drôle – Curieux – Vif d’esprit – Agile – Moqueur – Instable – Fou – Pervers – Observateur – Joueur – Manque de tact

♫ – Si je vous disais qu’Aamon aimait tuer, décapiter, égorger, éventrer, vous me croiriez ? Sentir le sang couler sur ses mains, l’odeur fraîche d’une nouvelle âme s’envolant au loin… c’est plutôt un plaisir chez Aamon. Oui oui !  Le meilleur moment, c’est quand il sort son petit paquet de mouchoirs et qu’il en prend soigneusement un pour nettoyer les lames de ses couteaux badigeonnées de rouge. Bestial dans ses meurtres, soigneux dans l’effacement des preuves. C’est une devise, une règle à respecter !

Aamon déguste la vie. Il est fasciné par l’humanité, et ne cesse de se renseigner sur tout ce qui l’entoure. De nouvelles rencontres ? Des idylles ? Des problèmes ? Des ennemis ? Tout est bon à explorer, tout est bon à savoir. Aamon observe, rit et jubile de tout ce qu’il remarque chaque jour. Il en plaisante sans aucun scrupule. Les Earthea ne sont pas commode, ce beau jeune homme loin des origines verdâtres l’est encore moins. Il n’hésite aucunement à dire ce qu’il pense, à s’amuser avec la mentalité des gens. C’est sa façon à lui de ne pas s’ennuyer alors que beaucoup de personnes sont à ses trousses… Heureusement pour lui, Aamon a appris à se battre, et se vante de son agilité. Bien sûr, il oublie parfois le fait qu’il n’est pas immortel, hein… Aamon est un peu bête, que les Dieux le pardonnent.
Côté cœur et amitié… Si vous aimez l’originalité, ne cherchez pas plus loin. Les sites de rencontres sont inutiles : Aamon est l’homme le plus unique qui soit. Vous adorerez son romantisme, sa finesse et sa galanterie. Au menu, des courses poursuites, un harcèlement plutôt malsain, une fascination pour votre joli minois et des pulsions meurtrières inattendues. Le tout parsemé de perversité crue comme on les aime ! Je peux même vous raconter une légende… Elle raconte qu’Aamon aurait fait l’amour à une femme tout en l’égorgeant vive. J’aimerais bien savoir la vérité… Vous aussi ? Eh, eh, ne fuyez pas ! Je suis sûr que la suite vous fascinera encore plus !

« Les Siècles Abandonnés, c'est un peu comme ma main sur ta tronche ; ça m'amuse sur le coup, mais ça en devient vite ennuyant. »


Je suis parti contre mon gré il y a deux ans, tu sais.
La ville de l’eau m’a brisée, la ville de l’eau m’a aimée.  Je passe ma main dans l’air aquatique pendant que les policiers crient mon nom dans leur poursuite pour m’attraper mort ou vif. Du haut de cet immeuble, j’écoute ce chant des sirènes… Oh, oui, les sirènes existent… Avec leur chant dévastateur, elles me poussent à arracher les racines qui se forment sur mon chemin.

Je sais qu’ils m’aiment. Sinon, ils ne m’auraient pas poursuivi.  

Mais j’ai quitté la ville de l’eau, celle qui m’a tout appris. Si je dois mourir, j’aimerais planifier quelque chose de spectaculaire, tu comprends ? Qu’on me voie à la télé, que les membres de la police secrète m’embrochent tous un à un sous les yeux de tous les habitants… Oh, je veux de l’originalité. Peut-être même que toi, lecteur,  voudrais-tu participer à mon meurtre ? Ce serait amusant…

Je dois t’avouer qu’Earthea est un milieu de vie absolument époustouflant. J’essaie de faire en sorte que les gens m’apprécient. Je ne change en aucun cas mes habitudes et mes coutumes pour eux, et puis j’en poursuis quelques-uns pour en apprendre davantage sur la chasse… Le harcèlement est illégal ? Et alors ? Je suis recherché à Okeanos, pas ici.
J’aimerais beaucoup en apprendre sur toi, d’ailleurs. Vraiment. Physiquement, psychologiquement, il faut que je touche à tout. En échange, je te raconterai de jolies histoires en te caressant les cheveux. Pari vendu ?

Me fuiras-tu ? M’appelleras-tu ? Si tu signes un pacte avec le diable, le seul échappatoire est la mort. Alors réfléchis bien. Attrape la plume, signe, et laisse le destin nous lier ensemble, lecteur. Sois sage, c'est tout ce que je te demande.

Je serai un ange auprès de toi. Promis.

Mesdames et messieurs, accueillez sur la scène le grand, le beau, le fantastique Aamon ! Votre survie à la fin du spectacle n'est pas garantie !


Je caresse doucement la chevelure tombante de ma mère, dans un geste doux et attentionné. Je roule les mèches de ses cheveux entre mes doigts, un sourire aux lèvres montrant mes canines acérées.

J’aimerais jouer aux devinettes avec toi, cher lecteur. Je me doute que lire ce genre de fiche est plutôt redondant, voire carrément ennuyant. Tu lis entre les lignes, tu te renseignes sur le global, et tu continues ta vie. Alors cette fois, je change ta routine. Écoute-moi quelques minutes, j’ai des comptines à faire partager.

La première, c’est sur un petit garçon, envahi d’imagination et de couleurs.  Il naquit un certain 31 octobre, jour d’Halloween et veille de la fête des morts. Certains docteurs croyants grimaçaient à cette date et plaignaient les nouveaux parents qui tenaient dans leur bras un messager des morts. Malgré tout, les Hohenburg souriaient de bonheur. Rien ne pouvait les briser. Leur vie fut épanouissante, le petit garçon suivit des études convenables afin de suivre les traces de sa mère scientifique.

La seconde s’éloigne du mensonge. C’est un petit garçon qui admirait ses parents. Il essayait de passer du temps avec eux, de les câliner, de les aimer tout autant qu’ils aimaient leur fils. Mais le danger rôde chez tous les humains, vous savez. Cette famille ne pouvait pas plonger dans la joie qu’ils tentaient d’installer. Les parents furent séparés, et le petit dût vivre dans cette instabilité de ne pas savoir lequel il préférait.

La troisième raconte ce que le petit garçon a réellement vu. Ses parents pleurant, tentant de le garder dans leurs bras alors qu’on les tirait loin de leur fils pour ne plus jamais revoir son visage potelé et ses yeux incompréhensifs et niais. Le petit garçon a été envoyé dans un nouveau foyer, où l’on prit soin de lui afin que son traumatisme ne le mène pas vers des horizons obscurs.

La quatrième, c’est toute la vérité. Le petit garçon fut privé de toute liberté.  Il se devait de respecter tout code moral et éthique, sa maison puait la bonne impression. Le fils grandit, sa famille adoptive ne changeait en aucun point. Il fuyait, découvrait le vice, le pêché et la réalité humaine.

Alors, quelle comptine choisis-tu ? La devinette est-elle réelle, ou uniquement un pur mensonge ? Peut-être que ce petit garçon a vécu une belle vie. Ou alors, il est simplement décédé depuis que le monde l’a trahi.  Mes comptines m’inspirent pour une cinquième… Aimerais-tu l’entendre ? Je suis sûr que tu en meurs d’envie tout autant que maman. Je caresse tendrement ses beaux cheveux blonds… cela m’aide à trouver l’imagination.  

Bien, voici une dernière petite chansonnette.

La dernière, c’est le présent. Nous voici à Okeanos, le petit garçon seul auprès de sa mère adoptive qu’il aimait tant. Un amour envenimé, des sentiments si beaux que le petit garçon en vomit tout son dernier repas. Il détestait sa famille, il détestait ces codes et tout ce qu’on voulait lui dicter. Alors le petit garçon devenu grand, en riant, tabassa à mort chacun des enfants… juste avant de passer aux parents. La torture psychologique était douce à regarder juste avant de se salir les doigts.

Tu n’es pas d’accord ?

…Aucune réponse ? Soit. Peut-être que je parle dans le vide… Ces devinettes ne t’amusent pas ? Voyons, il y a bien une raison pour que je sois là à caresser la chevelure saignante de ma tendre maman.  

Je veux juste que tu sois curieux. Approche-moi, tu finiras par me connaître aussi bien qu’eux.